Si vous avez réussi le dépistage du syndrome de Down, vous n'avez pas besoin de rechercher Toxoplasma gondii

Si vous avez réussi le dépistage du syndrome de Down, vous n'avez pas besoin de rechercher Toxoplasma gondii

Les femmes enceintes subissent généralement un dépistage du syndrome de Down lors de leurs examens prénataux, ce qui permet de savoir s'il existe des problèmes avec le bébé. Cependant, cet examen ne peut que détecter si l’enfant est atteint de maladies congénitales et ne peut pas détecter à temps certaines infections acquises. Alors, pour les femmes enceintes qui ont des animaux de compagnie, Toxoplasma gondii peut-il être détecté grâce au dépistage du syndrome de Down ? Aujourd'hui, nous allons vous aider à expliquer ce problème.

Le dépistage du syndrome de Down peut-il détecter Toxoplasma gondii ?

Cela ne peut pas être vérifié. Le dépistage du syndrome de Down pendant la grossesse est un test permettant de vérifier les malformations congénitales, et son taux de précision n’est pas de 100 %. Le toxoplasme peut être détecté par des analyses sanguines et des examens dans le cadre d'une bonne conduite parentale. Le médecin vous expliquera les détails à l'hôpital. Si vous êtes enceinte, vous devez vous soumettre à des examens prénataux réguliers.

Le test de dépistage du syndrome de Down teste les concentrations d'alpha-foetoprotéine AFP, de gonadotrophine chorionique humaine β-hCG, d'estriol libre uE3 et d'inhibine A dans le sang de la femme enceinte et utilise un ordinateur pour calculer avec précision le risque pour chaque femme enceinte d'avoir un fœtus atteint du syndrome de Down en fonction de l'âge de la femme enceinte.

La plage générale de l'alpha-foetoprotéine AFP est de 0,7 à 2,5 MOM. Plus le taux de gonadotrophine chorionique est élevé, plus l’œstriol libre uE3 est faible et plus le taux d’inhibine A est élevé, plus le risque que le fœtus souffre du syndrome de Down est élevé. De plus, le médecin saisira dans l'ordinateur les valeurs d'alpha-fœtoprotéine, de gonadotrophine chorionique, d'œstriol libre et d'inhibine A, ainsi que l'âge, le poids et le nombre de semaines de grossesse de la femme enceinte, et utilisera le logiciel d'évaluation des risques pour calculer le risque que le fœtus développe le syndrome de Down. Différents hôpitaux utilisent des normes différentes. Si la probabilité indiquée par le résultat du test, par exemple 1/100, est supérieure à la probabilité de la valeur de référence normale, par exemple 1/275, alors le résultat est positif, ce qui indique que le fœtus a plus de chances d'être malade, et une amniocentèse supplémentaire ou un prélèvement de villosités choriales doit être effectué.

Comment réaliser un dépistage du syndrome de Down

L'heure précise d'ouverture des hôpitaux dans différents endroits n'est pas certaine, les femmes enceintes peuvent écouter la notification de l'hôpital. Lorsque l'indice de dépistage du syndrome de Down dépasse la valeur normale, la femme enceinte doit subir une amniocentèse ou un prélèvement de villosités choriales. Ce n'est que lorsque les deux résultats sont normaux que l'on peut exclure au maximum la possibilité que le fœtus soit atteint du syndrome de Down.

1. Préparation de la consultation

Le dépistage du syndrome de Down est lié au cycle menstruel de la femme enceinte, à son indice de masse corporelle, à l'âge gestationnel et à l'âge du fœtus. Il est préférable de consulter votre médecin pour d'autres préparatifs avant l'examen.

2. Il n'est pas nécessaire de jeûner avant l'examen, et le sérum veineux des femmes enceintes est prélevé lors du dépistage

Les indicateurs d'alpha-foetoprotéine (AFP), de gonadotrophine chorionique humaine (HCG) et d'estriol libre (uE3) dans le sérum maternel ont été détectés.

3. Fournissez des informations personnelles détaillées

Notamment la date de naissance, les dernières règles, le poids, si vous souffrez de diabète insulino-dépendant, si vous fumez, si vous avez des antécédents de grossesse anormale, etc. Veuillez noter que le dépistage du syndrome de Down n’est actuellement pas applicable aux personnes ayant subi une fécondation in vitro ou ayant eu une grossesse gémellaire.

Les médecins recommandent de procéder à un dépistage du syndrome de Down à mi-grossesse entre 15 et 20 semaines de grossesse, et le meilleur moment pour effectuer le contrôle est entre 16 et 18 semaines. Car, que ce soit tôt ou tard, cela aura une incidence sur la précision des résultats du dépistage du syndrome de Down. Si le rapport de l’hôpital détermine que la situation présente un risque élevé lors du processus de dépistage, le médecin recommandera généralement une amniocentèse. Si une femme enceinte manque le délai prévu pour le dépistage du syndrome de Down, elle ne peut pas le rattraper et ne peut que subir une amniocentèse pour tester le syndrome de Down en prélevant du liquide amniotique.

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